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EN ATTENDANT LE DELUGE RESPLENDISSANT – L'!NSENSÉ
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EN ATTENDANT LE DELUGE RESPLENDISSANT

C’est au Théâtre d’Hérouville-CDN/Comédie de Caen que l’on pouvait voir, en cette mi-février (14 au 18) « En attendant le déluge » par le Théâtre des furies, dans une mise en scène de David Fauvel et Mederic Legros. Fiction dramatique plus vraie que vraie jouée par cinq comédiens : David Fauvel, Stéphane Fauvel, Agnès Serri-Fabre, Antonin Ménard et Virginie Vaillant.

Avertissement

Nous serions dans un lieu de travail (type entrepôt) où vivent et s’affairent cinq protagonistes. « En attendant le déluge » se présente comme une fable. La fable de l’univers tel que l’Histoire nous la donne à vivre. L’humanité va-t-elle à sa perte ? La science qui configure la conscience des humains nous instruit de ce que cette question se démultiplie du particulier (chacun se sait mortel) au général (c’est de la mort de l’espèce (humaine) dont nous serions saisis). Le théâtre des furies relaie le philosophe autrichien Gunther Anders qui théorisa à la fin du siècle dernier cette fin du monde imminente. Notamment en raison du nucléaire. Anders disait ceci (rapporté par le théâtre des furies) :

 « Après-demain, le déluge sera quelque chose qui aura été. Et quand le déluge aura été, tout ce qui est n’aura jamais existé. Quand le déluge aura emporté tout ce qui est, tout ce qui aura été, il sera trop tard pour se souvenir, car il n’y aura plus personne. Alors, il n’y aura plus de différence entre les morts et ceux qui les pleurent. Si je suis venu devant vous, c’est pour inverser le temps, c’est pour pleurer aujourd’hui les morts de demain. Après-demain, il sera trop tard. »  

Une fable anthropologique

« En attendant le déluge » raconte la vie d’un groupe dans un monde hostile. Tous les membres de la tribu sont habillés à l’identique de K-way et n’ont pas d’échanges verbaux. On les voit s’affairer au rangement de colis, lesquels contiennent des sons et bruits divers.  Leur tenue laisse imaginer qu’il y a déluge, tempête à l’extérieur. Il s’agit de considérer un groupe humain survivant à une fin du monde imminente. Cette hypothèse aujourd’hui est devenue modalité de la conscience humaine contemporaine. Le théâtre des furies l’illustre et l’instruit d’une démonstration concrète. Il nous montre à quoi peut ressembler la vie en cette fin du monde. La démonstration est saisissante ! Probante ! Epoustouflante ! La fiction au fur et à mesure de la représentation perd ses aspects fictifs au bénéfice d’une réalité vécue comme bien réelle. Métaphore, métamorphose… à l’heure du métalangage. Définition du métalangage ? Langage (ici théâtre) qui sert à décrire une langue naturelle (la langue utile à la communication). Le théâtre des furies en faisant économie de la langue parlée, nous confronte aux signes qui configures nos existences. Relativement dégagées de l’emprise d’assurer nos survies par la satisfaction de nos besoins alimentaires, nos survies s’inscrivent dans la culture ; dans la langue. En nous clouant le bec le théâtre des furies ré-articule et redonne au lien de l’homme à la nature tout son prix ; tout son poids. Si sombre et si sinistre que soit l’heure actuelle, le déluge des furies fait miroiter une fragile mais ténue espérance d’avenir.

Science-fiction

Regarder la réalité en face. Ils ont donc décidé de ne pas se payer de mots. Sidérés sont-ils donc muets de peur et de terreur. Chacun(e) va « mentaliser » l’état de peur, en faire sa modalité d’existence.  Donner corps (prêter le sien) à cette extravagance. On l’aura compris, il s’agit de mettre le langage théâtral au service de la pensée. Nous sommes dans les travaux pratiques de nos capacités poétiques ! Et c’est d’une bienheureuse efficacité. Cette mise à distance de la réalité loin de nous éloigner de la conscience, nous la rend plus vive et plus étonnante. Détonante ! À la fois tragique et burlesque. Tout à fait réjouissant « quoi qu’il en coûte ». Pertinence politique absolue. Avec « en attendant le déluge » nous sommes dans le vif du sujet, dans notre histoire ! La petite comme la grande ! Plaisir… Immense plaisir que d’observer des idées justes, que de comprendre. Plaisir d’assimiler, d’être en intelligence avec. Joie.

Silence

Mettre un terme, suspendre la communication semble l’artifice indispensable permettant d’appréhender un peu -un tant soit peu- la réalité. Notre réalité propre. Y avoir accès par économie et absence de paroles. Médéric Legros, depuis toujours est un homme de retenu et de silence, et avec David Fauvel ils s’entendent. S’entendent à écouter le silence … S’en instruire, s’en faire une intelligence. C’est donc d’un grand plaisir -cela fait caresse amicale- que de les retrouver de temps en temps. En eux reconnaître les vrais maîtres de l’horloge, bien plus et bien mieux que les présidents de République ne purent l’être. Plait à dire que voter déluge préfigure, anticipe l’idée de la citoyenneté. Théâtre « furieusement » politique !

Bruit et fureur.

Le théâtre des furies porte bien son nom et se situe fort justement dans l’héritage de Faulkner. Le bruit et la fureur est sans doute le livre le plus instructif de l’histoire américaine. Pourtant Faulkner situe l’histoire dans un pays imaginaire, c’est-à-dire fictif. Ainsi se trame la légende et par elle l’origine de l’identité américaine. De la fiction comme matrice d’identité ou aller au théâtre pour savoir qui l’on est. Vraiment. Appétit « furieux » de vivre qui se manifeste par des bruits. C’est le poème-conscience offert par « en attendant le déluge ». D’une rare et très heureuse efficacité.

Utopie et politique.

Comment échapper et à tout le moins mettre en crise la servitude ? Le véhicule en serait la figure du père et de ce qu’il donne nom aux enfants de la mère. C’est le célèbre et fameux nom-du-père. Observons que les « figures » présentées au théâtre… que ce soit dans « désintégration » ou « avant le déluge » n’ont pas de nom. Se repèrent par prénom. Petit nom. Intime. Privé. Le comment tu t’appelles de l’école toute primaire. Première parole qu’on apprend par cœur. Il faut répondre à la question : comment tu t’appelles ?   Pour qu’on te reconnaisse (naissance sociale et éducation à la servitude) et qu’on ne te perde pas, ou qu’on ne t’enlève pas. Jeu de re-père, d’être fils de. Nom du père. Lucidement errer. Le bien connu « non dupe erre » de Lacan. Nos scènes sont envahies de « personne » (Pessoa) qui cherche une route et on se demande si cette route ne serait pas d’emprunt : on furète. On cherche un passage. Des contes et légendes de l’enfance à l’utopie de l’adulte trouver sa ligne de pêche. Sa vie buissonnière. Roland Gori souligne fort justement combien l’ordre établi supporte mal l’utopie. Il écrit : qu’il faut restaurer la force révolutionnaire du langage (ce que nos amis de « déluge » font avec une superbe intensité), il écrit ceci :

« Dans l’histoire des esclavages et des luttes sociales, les « marronnages » par la danse, le chant, le récit et le conte, ont été des voies d’émancipation. Résister aux fabriques de nos servitudes par l’utopie est une nouvelle manière d’agir et de penser l’infini, le complexe, l’instable, le multiple, le divers que le vivant exige. Il y a urgences à détourner l’utile pour en faire du Beau, emmêler le vivant au Vrai… »[1]                                           

Le « marronnage » était une façon de désigner les actes de rébellion des esclaves noirs, notamment dans les Antilles françaises quand l’esclave prenait la fuite…le maquis en quelque sorte. Nous avons ainsi un théâtre du maquis, théâtre de résistance. Théâtre taupe qui creuse ses galeries jusque dans le théâtre institutionnel… qui reste cependant invisible c’est-à-dire inapte à une transposition filmique (et donc télévisuelle). Il parait donc fort pertinent de qualifier « en attendant le déluge » de marronnage. Il implique présence incontournable en chair et en os sur place. Sortie de chez soi et de son quant à soi. Nos dedans sont envahis du « dehors » (télé et réseaux sociaux) : nous sommes comme exilés de nous-mêmes. Sans foi ni lieux. Trouver sa présence, son présent, la forme de sa vie dans l’utopie ! « En attendant le déluge ».

Dépression

Le théâtre des furies n’explore pas une catastrophe à venir mais un désastre déjà là ! Désastre dont Roland Gori fait l’inventaire comme chaque spectacle de théâtre vu à Caen en ce mois de février « À chaque époque sa peur, à chaque peur son objet. La nôtre a pour objet la catastrophe écologique et son cortège de chaos, de désintégration sociale et de dislocation politique. »[2] Gori qualifie -nous qualifie- de « réfugiés cosmologiques » et collapsonautes en tant que contemporains de cette « fin du monde » qui oblige chacun à bricoler une survie, à se débrouiller avec une dépression et un effondrement, incontournables. Dépourvus des armes symboliques nécessaires[3], nous serions comme dépassés par les « événements ». C’est avec la guerre d’Algérie que la France a inauguré et illustré la nouvelle rhétorique de l’histoire contemporaine en remplaçant le mot « guerre » par « événement »… Comme le mot est impropre, c’est bien un silence de plomb qui s’est instauré sur tous ceux qui se trouvèrent engagés dans cette histoire (aussi bien français qu’algérien).  Cette impuissance de la langue à nommer (les modalités guerrières de nos existence) le Théâtre des furies en prend ACTE. Fait acte théâtral de notre impuissance. Donne envergure à notre révolte et notre colère, en fait paysage. Reste tache et devoir de penser notre monde : fictionner la catastrophe pour en prendre la mesure. C’est bien ce que fait Hannah Arendt quand elle examine le mal à l’aulne du sinistre clown que fut Eichmann. Il n’est pas d’autre issue que -autant que possible- penser et réfléchir notre mélancolie, trouver raison (raisons ?) de vivre.

Corps à corps

Hélas tous les théâtreux déplorent la perte d’un rare penseur du théâtre contemporain : Jean-Luc Nancy, décédé en août 2021. Comment apprécier « en attendant le déluge » sans en référer à son regard critique. Le théâtre procède d’un instant à saisir où il implique d’être actif dans une procédure éphémère. Ce qui lui vaut d’être qualifié (assez bêtement) d’art vivant. Justement, Nancy parle de l’instantané. De ce qu’il serait le temps propre du corps. « Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop tard »[4]  Nancy associe et fait du théâtre une nécessité pressante. Façon qu’ont nos corps de se reconnaître captifs de peu de temps. D’être toujours en état d’urgence. De vie. « L’instant a disparu- ou plutôt il n’a jamais eu lieu, pas plus que le point. Avec le temps et le corps, il s’agit de l’instance : le corps est une demande pressante, une instance dans son expansion. Toutes les attractions et répulsions, les chocs, les rebonds ou les soudures sont les innombrables rencontres des instances, leurs combinaisons, leurs turbulences et leurs mêlées. Chaque poussée a au moins un rythme, chacune a son mode de pulsion. En un sens, un corps ne se distingue pas d’elle ou de la complexité pulsive qui lui est propre. Ça bat de telle manière et selon tel agencement de rythmes et de battues. Les corps sont physiques ou chimiques, vivants, parlants, cosmiques, microscopiques, fantasmatiques, même, ou oniriques : ils sont toujours vibrants, palpitants, saccadés, balancés, secoués, clignotants, frémissants, oscillants, allant-et-venant, cadencés, répétés, diastole et systole – voilà comment on retrouve le sang. »[5]

Ce corps Nancy le reconnait comme « glorieux » dont le paramètre est la poussée ou ce qui fait qu’il pulse et Nancy cite Pessoa :

Les vagues d’avant toute sensation

Me poussent, m’affolent, occupent

Torrentueusement et ardemment

Le vide douloureux de mon être.

Mais le corps glorieux on le sait, ce sont les corps qui dansent.[6] La danse et se priver de la langue redonnant au corps sa dimension sacrée. Le sacrifice qui ne procède plus du religieux (non plus que la science en épousant les principes) mais de la pulsion de vie qui cohabite avec la pulsion de mort. L’haine-amour comme seul viatique. Faut se démerder avec ça.  

« Ceux pour qui certains mots ont un sens, et certaines manières d’être, ceux qui font si bien des façons, ceux pour qui les sentiments ont des classes et qui discutent sur un degré quelconque de leurs hilarantes classifications, ceux qui croient encore à des « termes », ceux qui remuent des idéologies ayant pris rang dans l’époque, ceux dont les femmes parlent si bien et ces femmes aussi qui parlent si bien et qui parlent des courants de l’époque, ceux qui croient encore à une orientation de l’esprit, ceux qui suivent des voies, qui agitent des noms, qui font crier les pages des livres, –ceux-là sont les pires cochons. » écrit Artaud dans « L’ombilic des limbes ». « En attendant le déluge » émarge au théâtre de la cruauté.

Le déchet, la merde, se faire chier… Putain de vie !

La cruauté

« En attendant le déluge » nous aura pris à bras le corps. Nous sommes avec ce spectacle porteur d’un rire d’une infinie cruauté. Parce que rire nous en avons d’emblée la tentation. Il y a du ridicule et une naïveté débordante des petits êtres qui composent le groupe que nous avons (confortablement) à considérer. Nous sommes grands de ce qu’ils sont petits. Sont avec leur K-way uniformément nus et désarmés. Des déchets d’humanité. Heureux de vivre une vie de merde. Heureux ? Beaucoup dire mais enfin ils continuent …à faire comme si de rien n’était. Ils ont une innocence à la Buster Keaton dont Beckett fit son théâtre. Ils ont peur mais ne voient pas plus loin que bout de leur nez. Sont trop ou très cons. Jusqu’au moment où on se rend compte qu’on est dans le même bateau. Pas plus avancés qu’eux dans la conscience des choses. Le rire tourne vinaigre. La commisération nous gagne.

Finalement par petites touches, on s’est attaché, en corps dé, en amouré d’eux. Leur K-way nous font la peau. On a gentiment compris l’insensé de nos existences. Chercher le remède du mal qui semble sans remède. « En attendant le déluge » est un spectacle extrêmement émouvant. Éprouvant (cruel) et émouvant.

Splendeurs

À des fins de « moi » difficiles se sont prêtés les acteurs de « déluge ». Quoiqu’en perte d’identité, ils ont des manifestations qui vont sinon les lier les uns aux autres, en tout cas nous lier très fortement à eux. Il y a un inventaire très riche de situations qui nous touchent. À commencer par l’histoire d’amour entre « Stephane » (Fauvel) et « Agnes » (Serri-Fabre). Nous en verrons toutes les étapes. Des prémices (scène de pudeur en croisement des corps) au rapport sexuel (porno-scène de la femme qui saute et tressaute l’homme) en passant par le mariage (de toute beauté de robe et bouquet de fleurs blanches. Grand moment de théâtre qui vous met le cœur en chamade dont nous régale à notre ordinaire, d’habitude, notre cher théâtre du Radeau). Mais encore ? Il y a les divines (et parfois tragiques) surprises des sons et bruits qui surgissent et sortent des colis ( venus d’Amazon hi! Hi!). Il y a là le jaillissement des origines… cris et pleurs de l’infans. Qui ne s’en émouvrait pas ? (Fragile « Virginie » Vaillant). Il y a l’homme qui rit, composition d’Antonin (Menard) qui tire plans sur plans sur la comète. Un « collapsonaute ». Homme d’étoile de mer et de ciel… de quoi espérer malgré tout. Il y a le pragmatique lanceur d’alerte « David » (Fauvel) en personne avec sa pancarte danger qui tente de sortir le corps social du marasme. Et puis arrive l’imprévisible. Une clanche qui flanche et danger d’une prison encore plus prison. Qu’on en sorte plus ! Coincé dedans aussi bien que du dehors. Arrive le pire. Non le sens mais le sang qui comme le dit Guillevic « est un liquide compliqué qui circule ». Il y a eu des crises, des pannes (de lumière) des aléas qui fondent l’histoire, qui permet un récit mais de la fin nous n’aurons que la clameur panique. Branlebas… pour quel combat ?  En resterons-nous là ? À nous d’avancer nos pions. À nous de jouer…d’agir ! Averti du déluge en cours.  À nous de prendre les devants : « Avanti o popolo alla riscossa »

Les quatre sans cous

Avons vu débarquer un homme sans tête. Tête perdue où et quand ? Qui l’horreur de la pensée séparée (trop) du corps. Corps sans tête qui nous conduit à Desnos et sa triste fin au camp de concentration de Theresienstadt (1945) et à la relecture de ses « 4 sans cous » avec qui il aimait boire un coup (de vin!). Comme j’aimerais le faire avec « Médéric » (Legros) et consorts.

« Vous avez le bonjour,
Le bonjour de Robet Desnos, de Robert le Diable, de Robert Macaire, de Robert Houdin, de Robert Robert, de Robert mon oncle »
J’en passe et des meilleurs.
Mes sans cou, mes chers sans cou,
Hommes nés trop tôt, éternellement trop tôt,
Hommes qui auriez trempé dans les révolutions de demain
Si le destin ne vous imposait de faire les révolutions pour en mourir,
Hommes assoiffés de trop de justice,
Hommes de la fosse commune au pied du mur des fédérés,
Malgré les balles pointillées autour du cou. »

Magritte:  La lunette d’approche Ainsi parlait Robert Desnos, anarchiste, libertaire anti-fasciste, dans lequel se reconnait aujourd’hui une conscience qui de l’inconnu tramé au connu fait son vin à boire. À Reconnaître que d’un bon bordeaux se peut faire mer à boire d’avoir vu et aimer le déluge du théâtre des furies. En prime m’auront restauré un vif appétit de groupe dans l’économie de toute tentation d’homme providentiel… Comment compter sur soi et voter pour soi s’en remettre à soi quoiqu’il en soi.


[1] Roland Gori , initiateur en 2009 de « l’appel des appels ». Auteur de « la fabrique de nos servitudes », édit. LLL (Les Liens qui Libèrent), 2022.

[2] Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu, édit. LLL, 2021, p. 28.

[3] Cf. Julia Kristeva, Soleil noir, Dépression et mélancolie, Folio/Essais Gallimard, 1989. Notamment, p. 229 Rhétorique blanche de l’apocalypse (consacrée à Marguerite Duras).

[4] Louis Aragon, la Diane française, 1946.

[5] Jean-Luc Nancy,Cruor », édit. Galilée, 2021, p. 33. Voir le texte de Fernando Pessoa, Faust, tr. fr. P. Léglise-Costa et A. Velter, Paris, Christian Bourgeois, 1990, p. 155.

[6] Dont une caennaise Valérie Colette -Folliot a entrepris d’écrire l’histoire. » L’apesanteur dansée ou Le corps dansant glorieux » Édition Bagnolet : l’Échappée belle édition, 2015-2017 (Trois tomes).